Fiche épisode Into the Badlands 1x01:
Regarder Into the Badlands

russel 19/11/15 4:17 1     Partager sur Facebook
into_the_badlands
Note moyenne de cet épisode: 11.5 / 20 (2)
Classement cette saison : 4
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willers Network willers

11.0

Pas plus emballé que ça.
J'adore l'histoire du jeune et de ses yeux noirs.
Pour le reste de l'histoire, très simpliste pour le moment. Je reviendrais tout de même pour le second.
Les chorés sont hyper bien faites. Belle scène.
Avec les barons, je me suis crus a un moment devant tru blood.
Plus que 5 épisodes..



russel Network russel

12.0

Ca commence plutôt bien par une séance de tartage assez homérique. Je ne suis pas forcément un grand fan de Daniel Wu mais il faut avouer que d'un point de vue distribution de corrections il assure bien. Son personnage de Sunny est même tellement au dessus du lot niveau fighting spirit qu'on se dit qu'il va nettoyer la région avant la fin du pilote. A priori à ce stade aMC veut compléter sa ligne de série avec un truc d'art martial et ma foi pourquoi pas, parce que c'est maîtrisé d'un point de vue chorégraphique et filmage.

L'univers post apo est plutôt réussi dans la mesure où il se révèle assez original. On n'est pas dans le désertique d'un Mad Max malgré le côté tribal. On a droit à un curieux mix entre l'orient et une Louisiane sudiste limite féodale avec des champs de pavot à la place du coton. Ca m'a rappelé un peu Revolution. En artistiquement plus soigné.

Après le décors planté, il faut introduire les protagonistes. Et là en revanche c'est pas forcément très brillant. Chaque personnage est présenté non pas dans le cours de l'action, mais de façon très théâtralisée, limite artificielle. Ca manque pas mal de vie, de naturel dans le montage. Il y a un côté un peu shakespearien avec des histoires de familles et des antagonismes claniques à base de conservation de pouvoir. Et là je me suis un peu emmerdé quand même tant c'était lourdaud. Heureusement qu'on a eu droit à une nouvelle séance de baston sous la pluie, totalement saugrenue d'ailleurs (ça permet d'introduire une baronne).

On voit bien la perspective du bidule. Un paradis perdu, Azra, que Sunny a en commun avec le gamin bizarroïde qui devient tout fou quand il saigne. On appréhende bien le destin contrarié du guerrier asservi, père qui ne peut assumer, qui va devoir s'émanciper de son seigneur. Il y a au moins un challenge clair. Mais pourvu qu'il y ait du sport et pas trop de dialogues chiants à la The Walking Dead. C'est un peu le pêché mignon de aMC décidément...




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